lundi

EXPO GUILLOU DARIUS

CENTRE CULTUREL CHAPELLE ST ROCH

POMPERTUZAT

RUE JEANNE DIEULAFOY


Exposition ouverte les vendredi, samedi, dimanche

du 12 au 28 décembre

de 14:30 h à 19:00 h



Pierrette au lézard
80*85
Technique mixte


"Liens"








mardi

Peintures et sculptures à thème






"Le temps des cerises"
DARIUS





Darius et Guillou font partie du groupe d'artistes
 qui ont rejoint la société des artistes méridionaux.
Ils participent au 85ème salon des artistes méridionaux 
du 2 au 20 décembre 2014 à la maison des associations de Toulouse.

A propos de :

LA SOCIÉTÉ DES ARTISTES MÉRIDIONAUX (S.A.M)


http://www.artistes-meridionaux.fr

"La Société des Artistes Méridionaux fut créée en 1905 dans le but de faire connaître au public les productions dans le domaine artistique et en Art décoratif à Toulouse.
Ses Salons connurent aussitôt un succès considérable, survivant jusqu'à nos jours malgré deux guerres et bien d'autres accidents de parcours.
Le groupe d'artistes qui la compose aujourd'hui continue à la faire vivre avec autant d'enthousiasme et de réussite qu'à ses débuts.

Depuis sa création, on trouve des constantes qui représentent ses valeurs fondamentales 
- La Société des Artistes Méridionaux a un rôle de révélateur en mettant en relation des créateurs rigoureusement sélectionnés, pour la plupart professionnels, avec un grand nombre d'amateurs d'Art.

- Elle a un but pédagogique en favorisant la rencontre de plusieurs générations d'artistes de cultures et d'expressions différentes et en proposant des visites commentées aux écoles, collèges, lycées et à diverses associations.

- Elle stimule l'énergie créatrice en proposant des thèmes de travail et en organisant des expositions et des échanges avec d'autres associations de la région toulousaine."


Bernard RYON 
Président de la S.A.M

Le thème de travail de l'année 2013 : le temps des cerises 
vu par Darius

 Le thème "Le temps des cerises" vu par Guillou
GUILLOU
"Le temps des cerises"
114*210 Technique mixte




Vernissage de l'expo Darius Guillou

Derniers préparatifs avant le vernissage....


De gauche à droite Guillou et Darius
GUILLOU
composition musicale 114*146 technique mixte 2014
GUILLOU
Toulouse A380
80*80 huile
DARIUS sculpture verso
Darius recto
DARIUS alphabets



Darius et Guillou exposent à la chapelle ST Roch


"Darius" sculpture

Albert GUILLOU Peintre et DARIUS Sculpteur exposent à la chapelle St ROCH du 12 au 28 décembre 2014



 








"La guitariste"
Technique mixte
Format 40*60
2014











"La musicienne"
Technique mixte
Format 40*60
2014

Chapelle St ROCH : Darius et Guillou






lundi

Van Qué : le carnaval romain exposé de Pierre Philibert


LE CARNAVAL ROMAIN
 UNE OEUVRE MAJEURE DE VAN QUÉ
Pierre Philibert, Ancien Professeur au Lycée Fermat, Toulouse.
Ancien Conseiller au Ministère de La Culture et de La Communication.

 Plan de l'exposé
                          1.     Introduction : Van Qué artiste peintre et musicien
2.     Genèse de la composition du "Carnaval Romain"
3.     les circonstances, l'inspiration, le sensible et l'intelligible
4.     Les préparatifs : Études : Croquis noir et couleurs.
5.     La composition : cadrage, l'orchestre, les scènes
6.   Le Style, l'homogénéité et l'unité de la composition.

1 - La quasi totalité des œuvres visuelles de V.Q. se range dans une catégorie dite " l'art pur" où le visuel seul suffit pour la contemplation et pour la compréhension du public. Les discours sont superfétatoires et peuvent entraver la communion avec l'œuvre et avec le créateur.
2 - Une des œuvres de grand format de V.Q., 2m x3m, "LE CARNAVAL ROMAIN" est particulièrement complexe. « Le Carnaval romain » fut créé à l'occasion de la représentation en 1969 de « BENVENUTO CELLINI » de BERLIOZ par l’Opéra du CAPITOLE de Toulouse sous la direction de Michel Plasson.
L'œuvre comporte plus de cent personnages (123). Elle a été composée dans des circonstances particulières. Malgré tout, l'artiste est parvenu à un résultat dont la plasticité est éblouissante. L'unité et l'homogénéité de l'œuvre y sont obtenues naturellement (comme dans presque toutes les œuvres de V.Q.)
Vue l'ampleur de cette composition, sa lecture et son appréciation totales nécessitent une analyse focalisée prioritairement sur LA PLASTICITÉ : compréhension et attrait surgiront dans le même élan.
La création de l'œuvre visuelle de V.Q. est datée de 1971. Sa sensibilité reste aussi vive qu'au moment de ses études à l'opéra du Capitole de Toulouse. Elle gère "souverainement" sa spontanéité dans l'exécution de son œuvre, sans aucune intervention de l'intelligible.
Tous les matins, pendant dix jours, il compose sa toile entre 6 heures et 8 heures, avant de partir au CNRS pour ses travaux de recherche scientifique, où intervient uniquement "l'intelligible". Le "sensible" y est totalement banni. Cette alternance " sensible-intelligible" imposée par les nécessités professionnelles a duré pendant dix jours, et sa toile a été achevée, sans retouches.
V.Q., allégé du poids de son inspiration, ayant libéré sa mémoire des impressions vives de l'opéra, de l'orchestre et de son chef, laisse "le Carnaval Romain" de côté pendant quarante quatre ans. 
3 – Le tableau est composé d’après des cahiers d’étude en couleurs, de scènes prises sur le vif par Van Que au cours des répétitions, avant " la Générale". Pour cette création, il était accompagnateur des chœurs, en guitare classique : Van Que était, à ce moment là, élève de la classe supérieure du Conservatoire National de Région de Toulouse avec le professeur Marc Françerie. Cet accompagnement limité dans le temps, lui laisse le loisir d'écouter, ou de retourner dans la salle, et de s'abandonner à ses œuvres visuelles.
L’œuvre de Van Que représente donc la scène à la "Générale" du « CARNAVAL ROMAIN ». On distingue, au centre du premier plan, le jeune chef d’orchestre Michel PLASSON (36 ans) au pupitre.
V.Q. a ajouté à cette composition toutes les scènes et les personnages qu'il a retenus dans ses études (même le personnel administratif, en costume de ville, qui passe sur la scène est croqué par son crayon ou brossé par ses pinceaux.)
Le "CARNAVAL" s'enrichit alors, malgré les disparités de temps, de lieu, de costumes, d'une plasticité éblouissante et devient une longue anecdote de l'HISTOIRE DE LA CRÉATION de cet Opéra.
4  La composition : cadrage, l'orchestre, les scènes :
Van Qué évite généralement de faire des œuvres d'art sur les œuvres d'art. Le "Carnaval Romain" est une exception. Le metteur en scène de cet opéra ne reconnaîtra probablement pas dans l'œuvre de Van Qué son œuvre originale, car Van Qué a rempli tout l'espace de la scène des mouvements des acteurs aux différents moments du carnaval.
Il a donc transgressé l'unité temporaire de la pièce : ainsi on a compté près de 100 acteurs sur la scène de sa peinture.
Il devait sentir que de multiples situations peuvent se trouver en même temps dans un carnaval, et la multiplicité des mouvements de l'ensemble favorise l'atmosphère d'un carnaval :
[dans ses œuvres sur le thème de "la foule" l'artiste a souvent multiplié le nombre de personnes pour évoquer le climat de l'événement]
Ainsi la quasi totalité de la surface de sa toile est couverte d'acteurs en mouvement : danseurs, acrobates, personnages cultes de la Comedia del Arte, ainsi que des personnes en costume de ville.
Vient le moment où l'artiste se met à distance de sa toile ; il aperçoit une grande homogénéité de sa composition visuelle. En effet, pour saisir l'ensemble du Carnaval Romain, on doit d'abord avoir saisi, un par un, les éléments de la composition de l'œuvre :
Si l'on décompose horizontalement, en quatre tableaux de format paysage très larges, on obtient quatre tableaux indépendants :
1° l'orchestre
2° les acteurs en action au premier plan de scène
3° deux rondes de danse
4° les acteurs au fond de la scène
Il en est de même quand l'on décompose la scène en quatre panneaux verticaux, on obtient également quatre œuvres indépendantes.
5.- Spontanéité de la création
Toute cette analyse de composition n'a été faite par le peintre qu'à posteriori, soit 44 ans après la création du tableau, en retrouvant sa toile.
Pendant les dix jours de sa création, les analyses, la mise en page, la composition, et les divisions - ce qu'on appelle : " L'INTELLIGIBLE" n'ont sollicité le peintre, ni en pensée, ni en tentation, ni en désir, pour ne laisser percer que l'exigence obsessionnelle de son travail :
"L'AISANCE SOUVERAINE DE LA SPONTANÉITÉ CRÉATRICE".

De la sorte, l'observation de l'œuvre et les considérations sur sa genèse rendent tangibles tout le sens et l'intérêt de cette peinture.

samedi

Chapelle ST Roch : Van Qué

Michel Plasson et les violoncellistes

Pots et draperies Année 1989
Acrylique sur toile
205*130


Louis-Jean GAL : Van Qué

VAN QUÉ, LE PEINTRE DE LA VIE

Louis-Jean Gal. Artiste peintre.
*  *  *
C’est avec un égal bonheur que le peintre Van Qué utilise tous les moyens plastiques mis à sa disposition ; que ce soit l’huile L’aquarelle, les encres, etc. Dans chaque matière il impose sa marque, il les plie à sa volonté
Il traduit les atmosphères, la nature, les êtres dans ce qu’ils ont de plus intimes, de plus secrets.
Ce qui était invisible devient présent, les scories disparaissent, la vérité s’impose.
 Il ne se contente, pas, et c’est ce qui fait sa grandeur, de traduire les choses, de mettre en évidence ce qui était caché, il y apporte sa marque : il y ajoute la vie.
Pourquoi, dans la multitude des peintres qui jalonnent l’histoire de l’ART, si peu ont défié le temps ? Des peintres qui possédaient leur métier à fond, qui traduisaient dans les plus petits détails la vision objective de l’œil en y ajoutant la complaisance qui plairait à leurs commanditaires ?
Ils ont disparus comme disparaîtront les faux prophètes d'aujourd’hui, ils ont disparus car leurs peintures étaient stériles. Le manque de souffle, le manque de vision, de grandeur, le manque d’horizon les prédestinaient inexorablement à l’oubli. Atteint d’une obsolescence fatale, ayant perdu tout intérêt plastique, leurs œuvres pour certains, subsistent encore comme jalon dans les manuels d’histoires pour marquer une époque décadente. Il manquait à leur œuvre, l’élément essentiel : la vie.
Aujourd’hui, le peintre est à la croisée des chemins, de toutes les époques c’est certainement la plus difficiles que traverse l’Art la peinture en particulier. Elle est devenue une valeur refuge.  Elle a perdu sa destinée première : s’offrir aux regards, on ne la montre plus, on la stocke dans des coffres en banques.   Les dérives sont telles, que la valeur plastique n’est plus le critère essentiel, la valeur marchande l’a remplacé.   
Beaucoup de peintres, du moins qui se prétendent tels, courent après la mode, après, les « tendances, les styles » pour se faire remarquer, exploitent les systèmes. C’est à celui qui choquera le plus. Les boudins de plastiques sont une nouvelle manne   pour les créateurs inspirés.
On construit des Temples à la gloire de ces horreurs qu’accompagne leurs inévitables prothèses littéraires que viennent contempler en masse ‘les amateurs avertis’ !
Que l’on ne se trompe pas, la vérité et ailleurs, même si l’amateur n’a jamais pondu d’œuf il est capable de reconnaître un œuf pourri.
L’Art c’est la vie.  C’est porter témoignage, Il faut revenir à la source.

C’est en cela que l’œuvre de Van Qué prend toute sa dimension
Elle éclaire la voie.
Elle apporte des réponses.
Il s’écarte des chemins battus, il met au service de l’Art ses qualités de chercheur. Il regarde toutes choses sans a priori ; il analyse, il déduit, il crée.
Rien n’échappe à son œil d’aigle. Il naît tous les jours, il découvre chaque jour sans préjugé ce qu’il a vu la veille. Il se remet en question en permanence, c’est sa nature, Il nous fait découvrir tout un monde insoupçonné qui était là sous nos yeux.
Le Carnaval Romain en est un bel exemple. C’est une des œuvres majeure de Van Qué. Majeure par sa dimension et majeure par ses qualités picturales, sa composition.
Nul besoin d’explication, elle s’impose au premier regard. Avant de comprendre on est saisi par le foisonnement, la chaleur, la vie qui habite cette toile.
Ne nous y trompons pas, cette spontanéité, cette fulgurance et le fruit d’une longue expérience acquise par des années de travail. Cette aisance est devenue naturelle : L’esprit commande, l’œil voit, la main exécute. Ce pandémonium joyeux est régi par le, les fils souterrains d’une composition très stricte qui permet de structurer l’ensemble et lui donner la stabilité.
Cette toile s’inscrit dans le long processus de l’ensemble de l’œuvre de van Qué;
elle n’est pas sujette aux fluctuations de la mode
.
Le sujet, très présent reste subordonné à la loi interne de la toile : Le temps passera sans que l’on ait à craindre son obsolescence.
Cette œuvre foisonnante de vie, est bien dans la manière de Van Qué : les dieux étaient présents à sa naissance, tout ce que touche son pinceau s’anime !

Van Qué est bien le peintre de la vie.


Louis-Jean Gal. Le 16 octobre 2014 

Van Qué et la presse

Spontanéité et Sincérité
Louis- Jean GAL – Artiste peintre


Son travail est d’une spontanéité inouïe tout en possédant en lui les qualités qui nécessiteraient des heures de doutes et de réflexions. Ses peintures séduisent sur le moment et à jamais ! On pourrait dire en employant une métaphore sportive : que Van Qué est un champion du cent mètres et un incroyable coureur de fond.

Toutes les techniques lui sont familières, c’est avec  autant de bonheur qu’il travaille l’huile, l’acrylique, la gouache ou l’aquarelle. Surtout l’aquarelle qui correspond bien à son tempérament d’homme pressé. Attention, l’aquarelle chez lui n’est pas un genre mineur ! Il a une maîtrise dans ce domaine rarement atteinte. C’est toujours un ravissement de voir avec quel bonheur il réussit à capter les instants éphémères de la vie dans leur plénitude en laissant au spectateur la porte entrebâillée vers l’imaginaire : ses œuvres sont toujours un commencement, jamais une fin !

Ses aquarelles touchent parfois au non figuratif, quelques touches de couleur suffisent à équilibrer un ensemble et cela tient du miracle : un trait de plume vient prendre le spectateur par la main et l’entraîne vers la pensée secrète du peintre.



2006 - Louis-Jean GAL - Extrait

Van Qué et la presse

SES ŒUVRES SONT « TRÈS DENSES, TRÈS LIBRES,
TRÈS ACCESSIBLES.

PREMIER FESTIVAL D’AQUARELLE 2003 de Brioude


juste une énergie vitale créatrice époustouflante qui fait précisément que la création pour Van Que n’est pas un aboutissement mais une invention quotidienne.. Il passe d’une technique à l’autre, explore tous les mondes des arts plastiques avec une facilité déconcertante, . -.

Les œuvres de Van Que sont une véritable leçon de simplicité, de liberté. Sa grande force c’est sa technique infaillible. Elle lui permet de travailler dans l’immédiateté, de poser ses couleurs, de créer sans cesse des formes infinies si complexes mais qui apparaissent si simples.

Ses œuvres sont « très denses, très libres, très accessibles. La nature est tout. Moi, j’ai la liberté mais je respecte la nature».

Van Que apporte à ce festival d’aquarelle un souffle décapant, une vitalité peu commune prompts à bouleverser l'idée de la création même.




"La Montagne, Brioude
vendredi 18 juillet 2003"





lundi

Aline Llareus-Dinier : Pierre Lachkar


Pierre Lachkar

"Le critique d'art Aline Llareus-Dinier, diplômé des facultés de l'université de Toulouse"

Aline Llareus-Dinier : Armand Kouby

Juillet à Barcelone

"Le critique d'art Aline llareus-Dinier, diplômé des facultés de l'université de Toulouse"

Aline Llareus-Dinier : Mireille Duhalde

Mireille Duhalde


"Le critique d'art Aline Llareus-Dinier, diplômé des facultés de l'Université de Toulouse"

Aline LLareus-Dinier : Bernard SIX

Bernard SIX

"Le critique d'art Aline LLareus-Dinier, diplômé des facultés de l'Université de Toulouse"

Aline LLareus-Dinier : Albert Guillou

Albert Guillou


"Le critique d'art Aline LLareus-Dinier diplômé des facultés de l'Université de Toulouse"


Catégories